D’Antonio Ghislanzoni, composé par Giuseppe Verdi, mise en scène Shirin Neshat, dirigé par Michele Mariotti, Dmitry Matvienko. Avec Saioa Hernandez (du 24 sept. au 16 oct.) ou Ewa Plonka (du 19 oct. au 4 nov.), Piotr Beczala (du 24 sept. au 16 oct.) ou Gregory Kunde (du 19 oct. au 4 nov.), Ève-Maud Hubeaux (du 24 sept. au 16 oct.) ou Judit Kutasi (du 19 oct. au 4 nov.), Roman Burdenko (sept.-oct.) ou Amartuvshin Enkhbat (nov.), Alexander Kopeczi, Krzysztof Baczyk, Manase Latu, Margarita Polonskaya.

Dans son ouvrage créé en 1871 à l’Opéra du Caire, Giuseppe Verdi alterne scènes épiques comme la fameuse marche triomphale et airs plus intimes tels que « Celeste Aida ». Si le contexte de création de l’œuvre doit beaucoup à l’égyptomania en vogue au XIXe siècle, les thèmes d’Aida se révèlent intemporels autant qu’universels.